Nom: Ichigai
Prénom: Hishiro
Anniversaire : 21 Août
Âge: 22 ans
Nationalité: Japonais
Groupe : Habitant de la ville
Métier : Il travaille dans une petite épicerie
Orientation sexuelle: Homosexuel


Allergie(s) : Au lactose
Fantasme(s) : Utiliser des menottes et un bandeau pour le faire...
Peur : De se faire tuer
Manie : Ronger un crayon lorsqu'il réfléchit

Description physique: Hiroshi est un jeune homme. Et cela se remarque assez facilement: les traits de son visage sont encore jeunes et enfantins, doux et lisses, légèrement efféminés. Et pourtant, il n'a cessé de boire, fumer et même se droguer. Cela aurait dû se voir physiquement, mais il semblerait bien que Hiroshi dégage un charme évident, malgré les années qui passent, son corps qui vieillit et subit tout ce que Hirsohi lui fait subir. C'est un asiatique de pure souche. Il a la peau satinée, mais tout de même un peu claire. Ses cheveux d'un noir ténébreux encadrent son visage si fin et délicat, lui caressent parfois timidement les joues. Quelques fois, quelques mèches rebelles viennent à lui barrer le front. Hiroshi ne prend jamais la peine de se coiffer. Ses cheveux sont toujours désordonnés, ébouriffés et pourtant, cela ne manque pas de conférer un certain charme à notre jeune délinquant. Il se soucie très peu de son apparence, il prend à peine soin de lui mais cela ne suffit pas. Sa beauté est naturelle, il séduit sans le vouloir... et lui ne voit rien. Hiroshi ne se soucie que d'une seule personne, c'est-à-dire lui. Enfin, dans le cadre de sa vie personnelle.

Jeune délinquant, qui aime le sang, les bagarres de rues et la violence, il paraît pourtant tellement frêle et fragile physiquement que l'on croirait faire à un enfant innocent qui réclame de l'aide et crie son incapacité à se battre de lui-même. Les apparences sont bien souvent trompeuses. A première vue, il serait facile de juger Hiroshi incapable de coller une droite à plus grand et plus musclé que lui. Ses jambes sont aussi fines que celles d'une femme, ses bras sont mous, il est trop petit, il ne met pas assez de forces dans son poing, il est tout plat et maigrichon, il n'a que la peau sur les os, comment voulez-vous qu'il survive dans cette jungle hostile? Un coup et il est ratatiné, à plat, allongé sur le sol, brisé en deux et les os écrasés. Non, Hiroshi est plus résistant et bien plus fort qu'il n'en paraît, même si ses muscles sont finement sculptés et bien souvent cachés par de amples vêtements.

Venons-en d'ailleurs au style vestimentaire du garçon, puisque nous abordons son sujet. Il s'agit d'un style vraiment très simple: Hiroshi aime à porter des vêtements amples, qui lui permettent de se mouvoir librement, sans être gêné par le tissu. Les couleurs et le style importent peu. Il peut porter un haut d'un rouge pétant avec un pantalon jaune poussin, il se fiche pas mal de ce que les autres pensent, de savoir si les vêtements lui siéent ou s'ils lui donnent une allure de clochard. L'important et leur utilité et la liberté qu'ils lui offrent. Ce qui compte le plus, en revanche, est le bonnet noir qu'il porte sans arrêt. Hiroshi ne s'en sépare jamais... ou alors très rarement. C'est à peine s'il ne dort pas avec. Heureusement, il l'enlève lorsqu'il travaille, sinon ce ne serait pas très sérieux et professionnel. Son patron est strict: pas de tenue flagrante, pas de bonnet noir, pas de piercing à la lèvre, pas de collier de chien autour du cou, pas de crayon noir autour des yeux... Bref, à cet instant, Hiroshi ressemble à Monsieur Tout-le-monde. Mais pour ceux qui l'ont toujours connus, le voir en tenue professionnelle et un air sérieux affiché sur le visage peut effectivement faire un choc.

Mis à part cela, les courbes du corps de Hiroshi sont généreuses. Pour ceux qui aiment bien les termes directs, il pourrait être possible de dire de lui qu'il est bien 'foutu'. Il est mince, ses muscles sont légèrement sculptés, il a des fesses fermes, des mains de pianiste (ou de poète), un visage mignon, une démarche féline... que demander de plus? Bon, évidemment, il n'est pas non plus un uieu ou un top modèle, mais Hirsoshi est sûr d'une chose: il ne rentre pas dans la catégorie des garçons laids et ça lui convient parfaitement.

Description mentale: Agaçant, énervant, chiant, collant, colérique, puéril, boudeur, enfantin, violent, déstabilisant, arrogant, prétentieux, hautain, sans scrupule, déconcertant, indécis, lunatique, versatile, contradictoire... Que de beaux adjectifs pour décrire la personnalité de Hiroshi, mais cela ne suffit, hélas, pas à dire qui il est réellement. Alors venons-en aux détails pour le connaître un peu mieux. Notre cher Hiroshi est un genre à lui tout seul. Il est exceptionnel, car lui seul serait capable de se mettre le monde entier à dos. Pourquoi? Parce que c'est un emmerdeur de première qui aime faire des conneries et qui ne se rend pas vraiment compte que son comportement est parfaitement immature, que tout ce qu'il fait ne sert à rien mis à part l'interdire d'un bonheur évident. Il ne goûte pas la vie à pleine dents, même si c'est ce qu'il fait prétendre. Vous l'entendrez toujours dit: 'le goût de l'interdit c'est le goût de la vie, et vivre c'est frôler l'interdit'. Il se fâche tout rouge très vite, il s'emporte rapidement, crie beaucoup et souvent pour rien, se fait beaucoup de fausses idées, ce qui cause des situations qui le blessent souvent, que ce soit physiquement ou moralement. Mais il n'empêche que le fait est là: derrière cette colère se cache de la peur, la peur de ne pas être accepté.

C'est peut-être la raison pour laquelle il fait parti d'un gang. Au sein de ce gang, il a vraiment l'impression d'être accepté, d'être quelqu'un et de vivre pour quelque chose mais en vérité, il n'est qu'un jouet et, inconsciemment, Hiroshi le sait. Seulement, il n'ose pas ouvrir les yeux sur cette vérité. Oui, la colère est souvent un bon masque, et lui s'enfonce un peu plus tous les jours dans ses fausses illusions et ses faux espoirs.

Heureusement, il connaît quelques moments de répit... en particulier lorsqu'il écrit des poèmes. Oui, Hiroshi, malgré son sale caractère d'emmerdeur et de petit 'branleur', écrit des poèmes. Et c'est qu'il est extrêmement doué dans ce domaine! Il peut faire preuve de romantisme, les mots qu'il sélectionne lorsqu'il écrit sont bien choisis. Les vers sont rédigés d'une main délicate, les pensées qui lui traversent l'esprit et qu'il transcrit sur du papier reflètent alors son âme de poète peut-être un efféminé. Seulement, il y a un petit hic. Hiroshi n'ose pas reconnaître qu'il est poète. Il n'a jamais publié ses poèmes et fait tout pour les cacher, simplement car il considère qu'un garçon ne devrait pas être poète. Ça, c'est le rôle des femmes! Les hommes doivent être virils, bruts, arrogants, hautains, machos, sans bornes, audacieux, mais certainement pas écrire des trucs de femmelettes dont tout le monde se fiche!

S'il devait avoir le choix entre être un homme ou une femme, il aurait certainement choisi d'être asexué pour pouvoir tout faire sans avoir mauvaise conscience, se ronger les ongles, se dire que ce qu'il fait c'est bien mais con parce qu'il n'a pas le sexe pour et qu'il va passer pour un faible. Alors si vous vous demandez si Hiroshi est du genre contradictoire, oui, il l'est. Et c'est peut-être même le garçon le plus contradictoire qu'ait jamais porté la Terre! Il a du mal à se trouver, à se retrouver. Il se perd toujours de vue dès qu'il pense avoir trouvé les réponses à toutes ses questions. Il est toujours indécis, à du mal à prendre des décisions mais quand il le faut, il trouve toujours la réponse qu'il faut... sauf quand il décide de faire sa tête de mule et de faire l'enfant boudeur. Hiroshi n'est pas quelqu'un que l'on pourrait qualifier de romantique (sauf quand il écrit ses poèmes), parce qu'il n'y connaît rien à l'amour (sauf quand il écrit ses poèmes), et c'est à peine s'il sait comment faire l'amour (sauf quand il écrit ses poèmes), la tendresse ça ne le connaît pas (sauf quand il écrit ses poèmes). Alors si vous désirez connaître le garçon doux, romantique, galant, gentil et tendre... il faut écrire des poèmes ou faire parti des siens. Non, il faut simplement le secouer comme un prunier et lui crier dans les oreilles que la vraie vie ne tourne pas autour des poèmes et qu'il est en train de gâcher la sienne en faisant sans cesse des conneries. Sans compter qu'il gâche son talent puisqu'il ne partage pas sa passion et ne publie pas ses poèmes.

Il y aurait encore beaucoup, beaucoup, beaucoup de choses à dire sur Hiroshi, mais ce serait sans doute ennuyeux à lire. Tout ce qu'il faut savoir est que Hiroshi est un jeune homme mystérieux et difficile à cerner.

Biographie: L'histoire de Hishiro commence à sa naissance... ce qui est tout à fait normal, me diriez-vous. Il est né au Japon, un jour d'été alors qu'il faisait chaud. Ses parents étaient riches, vivaient dans un loft très luxueux et confortable. Ils avaient à leur service des domestiques, que ce soient des bonnes, des majordomes, des cuisinières... Bref, tout ce que toute personne normalement constituée désire avoir, parce que cela signifie également ne rien faire et donc être tranquille les journées, à moins de crouler sous le travail. Cependant, les parents de Hishiro étaient bien trop souvent absents. Apparemment, ils préféraient le travail à leur enfant et ne daignaient pas même accorder la moindre attention à leur fils. Ils étaient froids et distants, ne faisaient pas effusion d'amour et daignaient encore moins faire le moindre geste d'affection envers lui. C'était à croire que Hishiro n'existait pas à leurs yeux. Sa mère était froide et frigide, son père méprisant. Ils demandaient toujours le meilleur de Hishiro, que ce dernier obtienne les meilleures notes à l'école. S'ils désiraient un enfant parfait, ils ne l'obtiendraient très certainement pas, parce que la perfection n'existait pas. L'éducation de Hishiro était stricte et sévère. Ses parents voulaient le « meilleur » pour lui. Ils l'élevaient afin qu'il soit un fils digne de leur famille mais, surtout, qu'il puisse suivre leurs traces. Ils lui souriaient souvent mais Hishiro savait bien que tous ces sourires étaient faux, qu'ils n'avaient rien de vrai. Comme ce masque d'amour qu'ils affichaient. Comme l'éclat qui brillait dans leurs yeux... Comme l'air qu'ils respiraient.

Il aurait voulu un peu plus d'attention de leur part, un peu plus d'amour, mais il fallait croire qu'il en demandait beaucoup trop ou alors ses parents ne connaissaient tout simplement pas le sentiment d'amour, car ils ne tentaient rien pour lui prouver qu'ils tenaient à lui. Enfant, Hishiro adorait parler. Il se faisait rapidement des amis, jouait avec eux, riait souvent, pleurait rarement. Il pensait que ses parents allaient tôt ou tard manifester un peu d'attention mais au fur et à mesure du temps qui s'écoulait, il prenait conscience qu'il ne serait jamais rien à leurs yeux qu'un « homme d'avenir ». Juste une personne qui se devait de suivre leurs traces. Ils étaient fiers de lui seulement quand il obtenait de bons résultats, mais ça se limitait là.

Alors bien évidemment, un enfant privé de l'amour de ses parents n'avance pas forcément sur le droit chemin, simplement parce qu'il n'y a personne pour guider ses pas. Hishiro était un peu perdu mais il espérait bien que ses parents prendraient conscience de ce qu'ils lui faisaient subir. Il voulait leur désobéir afin de leur ouvrir les yeux, qu'ils se rendent compte de ce qui se passait dans la petite tête de Hishiro, qu'ils voient sa souffrance, sa douleur. Alors il avait commencé par de simples petites bêtises mais ses parents pensaient tout simplement qu'il était assez tête-en-l'air et que ce défaut s'effacerait avec l'âge. Tous les arguments étaient bons. Pour eux, Hishiro était un fils parfait. Il ne pouvait pas en être autrement, les choses étaient ainsi. Profondément blessé par leur ignorance et leur insouciance, Hishiro s'était alors tourné vers ses camarades de classe, des garçons peu fréquentables. Il se trouvait dans une école privée, oui... mais cela ne signifiait en aucun cas que les classes étaient composées seulement d'élèves intelligents et particulièrement sages. Il y avait des personnes qui se trouvaient dans la même situation que Hishiro alors forcément, le courant passait très bien entre eux. Ils s'étaient très rapidement rapprochés pour devenir amis et les sorties se faisaient de plus en plus nombreuses. Au départ, Hishiro avait été un élève vraiment studieux et qui se souciait seulement de ses cours et de ses notes mais, depuis qu'il avait fait la rencontre de Takeru et Atsuaki, plus rien d'autre ne comptait que ses deux amis. Il passait de moins en moins de temps sur ses devoirs mais ça ne l'empêchait pas d'avoir de bonnes notes. Il préférait sortir avec ses amis. Ses parents, une fois de plus, pensaient que ça n'était qu'une petite crise qui serait bien rapidement oubliée et que Hishiro se reprendrait vite fait en main... parce qu'il n'y avait rien de meilleur que les études, le reste ne comptait pas.

Mais rien ne changeait. Ou peut-être que si. Les choses empiraient. Voyant que son fils ne s'intéressait plus au cours, à l'école et donc à son avenir, le père était de plus en plus sévère envers lui et ne se privait pas de le rabaisser publiquement et moins encore de l'insulter. Hishiro n'avait pas imaginé un seul instant que son paternel puisse se comporter de la sorte et il se sentait de plus en plus mal dans sa peau. Un soir, au cours du dîner où il avait annoncé avoir eu un 12 en technologie, une note correcte pour lui, son père l'avait enfermé dans sa chambre, peu satisfait du résultat. Pourtant, autrefois, ce genre de notes lui convenait, d'autant plus qu'il ne l'avait jamais puni de la sorte. Ne sachant quoi faire surtout qu'il n'avait pas vraiment le moral pour faire ses devoirs à ce moment-là, Hishiro avait commencé à écrire un poème et ce fut à partir de cet instant qu'il se découvrit une véritable passion pour la poésie, d'autant plus qu'il semblait avoir un talent inné mais bien évidemment, il savait que ses parents ne l'admettraient jamais. Plus il y réfléchissait, et plus Hishiro désirait poursuivre ses études dans la filière Littéraire et non scientifique, comme le désiraient ses parents. Au départ, il ne leur fit pas part de son projet, puis en parla de plus en plus. Ce fut comme une insulte aux yeux des parents de Hishiro qui refusèrent de l'inscrire dans cette branche et c'est pourquoi Hishiro s'inscrivit de lui-même dans un lycée public, au plus grand damne des parents de ce dernier qui étaient sur le point de s'arracher les cheveux, d'autant plus qu'ils avaient pris la peine d'inscrire leurs fils dans un lycée privé et avaient déjà payé les frais d'entrée... et maintenant, ils apprenaient que Hishiro ne s'y rendrait pas et préférait fréquenter un lieu avec plein de délinquants et de personnes étranges et louches? Était-il devenu fou?

Non pas. Hishiro n'avait pas perdu l'esprit. Il avait parfaitement conscience de ses gestes et de ses actes, même si ces derniers ne plaisaient pas forcément à son entourage seulement, il ne voulait pas suivre une voie qui ne l'intéressait nullement et puis la poésie lui permettait de se détendre un peu, de trouver un moment de bonheur et de liberté malgré toute cette pression qui pesait sur ses épaules. Et puis... le caractère de ses amis influait sur lui. Il ne tarda pas à commencer à fumer, boire... Puis à son tour, il voulut découvrir les plaisirs de la chair, alors il flirtait sans cesse. Pour lui, il était bien facile de séduire les jolies demoiselles parce qu'il avait un certain charme qui leur plaisait, alors elles tombaient toutes entre ses griffes et il les cueillait. Son apparence physique et son style vestimentaire changeaient eux aussi. Et la nouvelle couleur de ses cheveux ne plut pas du tout à ses parents qui lui crièrent dessus une bonne partie de la soirée, le privant de nourriture avant de l'enfermer dans sa chambre et Hishiro passa une nuit blanche, ressassant sans cesse les paroles de ses parents.

Tu es une honte pour notre famille! Regarde-toi! Qui voudra de toi?
Je vais t'envoyer dans cette maison de correction en Biélorussie, tu vas voir! Ce sont pas des tendres là-bas, ils vont t'apprendre la vie! Ou alors je t'enverrai en Irak faire la guerre! Faut que tu te reprennes, tu ne mérites pas d'être notre fils...

Des paroles qui n'enchantent pas, n'est-ce pas? Qu'il aille donc en Irak faire la guerre! Ce serait toujours mieux que de rester près de ses parents et, au moins, il n'aurait plus à supporter leur mauvaise humeur constante. Finalement, pour supporter cette situation qui devenait trop oppressante, il se réfugia également dans l'alcool et la drogue, mais appris également l'art... de se battre. Il prit rapidement goût à la violence, au sang et à la bagarre, qui lui permettaient d'évacuer toutes ses émotions et de se défouler, si bien qu'il s'en prenait même aux plus jeunes et bien souvent sans aucun motif. Il commettait des délits, frôlait l'interdit, simplement parce qu'il voulait se sentir vivre et bien souvent, il se fit arrêter... mais ses parents payaient toujours la caution pour le libérer avant de le sermonner, bien que leurs paroles n'atteignaient plus Hishiro.

Juste après que Hishiro ait eu son diplôme, ses parents le virèrent de la maison. Heureusement, le jeune homme trouva bien rapidement un travail et il n'avait pas d'autre choix... que de vivre en collocation avec quelqu'un afin de payer moitié prix le loyer, les factures et les impôts. Seulement, il ne savait pas encore ce qui l'attendait et comment les choses allaient se passer.

1. Pour vous, que représente le Chaperon Rouge et le grand méchant loup? Deux idiots qui ne savent pas partager une forêt
2. Pour vous, la luxure est elle un pêché? Non
3. Quel est le meilleur dessert que la terre ait jamais porté? Un fondant au chocolat
4 Selon vous, avec quoi rime l'innocence? La perversité, forcément, car l'innocence n'existe pas
5. Quel est votre définition de l'érotisme? Ou pour vous qu'est ce que l'amour? L'amour c'est rien d'autre qu'une connerie
6. Répondez à la question :

SI C-H-O-C-O-LA-T= 8 … SI L-A-N-G-U-E=6 alors S-E-X-E =4

7. Lit double ou lit simple? En cas de divorce prononcé, simple
8. Quel est le phénomène qui touche les hommes au réveil, le matin? Leur retard au travail
9. Quel titre donne-t-on à un élève d'un niveau supérieur à soi au Japon? SEMPAl