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 Keisei HARSH ~ L'homme qui avait perdu sa moitié - préfet de l'internat [FINIE]

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Invité
Anonymous


Keisei HARSH ~ L'homme qui avait perdu sa moitié - préfet de l'internat [FINIE] Vide
MessageSujet: Keisei HARSH ~ L'homme qui avait perdu sa moitié - préfet de l'internat [FINIE]   Keisei HARSH ~ L'homme qui avait perdu sa moitié - préfet de l'internat [FINIE] Icon_minitimeSam 7 Nov - 0:20

CARTE DU PERSONNAGE
Keisei HARSH ~ L'homme qui avait perdu sa moitié - préfet de l'internat [FINIE] 091104100204860392


Provenance de votre avatar : Aucune idée


Général

Nom: HARSH

Prénom: Keisei

Anniversaire : 21/03/1984

Âge: 25

Nationalité: Anglo-japonais (officiellement japonais)

Groupe : Préfet d’internat

Niveau de perversité : B



Santé

Allergie(s) : Piqûres d’insectes

Créativité : 5/10

Quotient intellectuel : Normal

Fantasme(s) :
"Le faire" dans les toilettes

Peur : D’être seul, de perdre sa "moitié" et ne supporte pas les orages

Manie : Se passe la main sous les vêtements quand il dort.

Lien avec la pâtisserie : Intime. (les gâteaux, c’est un Péché)



Autre


Qualités : Sait être patient et être à l’écoute des gens, accueillant, volontaire

Défauts : Prend trop sur lui-même, possessif, matérialiste, mélancolique, direct

Signe particulier : Possède un grain de beauté sur sa fesse gauche

Objet fétiche : Une chaine en métal ornée de deux plaques sur lesquelles sont inscrits les prénoms de Keith et Keisei faisant office de pacte.

Motto/citation : "S’accomplir, c’est se dépasser"



Keisei HARSH ~ L'homme qui avait perdu sa moitié - préfet de l'internat [FINIE] 091104100204860392
DESCRIPTION
Keisei HARSH ~ L'homme qui avait perdu sa moitié - préfet de l'internat [FINIE] 091104100204860392



Description physique:

Keisei est plutôt bien représenté dans son bon 1 mètre 81 pour 70 kilos : structure fine et séduisante, son corps presque athlétique est agréable à regarder. Malgré le fait qu’il soit svelte, l’on peut deviner ses muscles, bien qu’atténués par la rectilignité de ses membres. Après tout, ici est bien reflétée l’une de ses origines dominantes (qui est le côté nippon).
Encadré par des cheveux d’un brun cuivré lui chatouillant le cou, son visage anguleux ne fait cependant pas défaut à sa beauté. Subtil mélange de ses origines anglaises et japonaises, ses traits restent fins se mariant parfaitement avec son teint pâle et lisse.
Ses yeux, de forme allongée - hérités du côté maternel -, dont la couleur bleue ne va pas sans rappeler celle d’un Saphir, sont soulignés par des sourcils fins et droits s’inscrivant dans la continuité de son regard à la fois doux et/ou perçant.
Pour rehausser le tout, sa voix reste dans les tons graves sans pour autant être désagréable.
Niveau vestimentaire, Keisei s’habille le plus souvent de façon décontractée, optant en général pour des chemises dites "stylées" dont les deux premiers boutons n’ont aucun usage et un bon jean parfois délavé. Il lui arrive aussi de s’habiller plus chic lorsqu’il s’agit de sortir. Mais attention, ne pensez pas qu’il est négligent dans son apparence, ça serait l’insulter !



Description mentale:

Tempérament calme et accueillant : tels sont les deux adjectifs pour décrire au mieux ce qu’est Keisei à lui seul. Personnage discret en première apparence, on pourrait penser qu’il est fier, voire hautain mais ce n’est qu’en réalité qu’une couverture. Qui penserait que là dessous se cache un être affectueux et joueur ? Osez et vous ne regretterez pas d’avoir croisé sa route.
Taquin dans l’âme, c’est une face qu’il ne met pas en avant en premier lieu afin de tromper les plus naïfs. Mais détrompez-vous si vous croyez qu’il n’en fait pas usage…
S’il était autrefois timide, il est maintenant quelqu’un de beaucoup plus affirmé, ne se gênant pas d’user parfois de son charme pour obtenir une faveur ! Enfin, sans trop exagérer cependant…
De nature loyale, il déteste la trahison et autres fourberies dont l’être humain est capable. S’il s’avère particulièrement piquant dans ses réflexions, il reste néanmoins quelqu’un de sensible qui se dévouera tout entier pour les personnes qui lui sont chères.
Il est aussi rare de le voir se mettre en colère, mais lorsque cela arrive, restez à l’écart ou vous essuierez une tornade dévastatrice.
En bref, il faut se méfier de l’eau qui dort comme le dit si bien le proverbe.



Biographie:

"Pourquoi es-tu parti ? Pourquoi tu m’as laissé seul ? Pourquoi tu m’as trahi ?" Je n’ai cessé de me poser ces questions depuis son départ. Elles me hantaient tant et si bien qu’il m’arrivait de ne pas trouver le sommeil… Il est difficile de ne pas ressentir un grand vide sachant que l’être auquel vous tenez le plus s’en est allé loin, même si aujourd’hui je m’y suis habitué. Ca, c’est mon moi actuel. On pourrait se demander "mais comment en suis-je arrivé là ?" et "pourquoi moi ?". Je n’ai jamais trouvé la réponse à toutes ces interrogations… Une chose est sûre, je te retrouverai, crois-moi.


***


Angleterre, 1976


Un homme du nom de William Harsh, écrivain renommé dans son pays natal, l’Angleterre, cherchait à faire connaître ses œuvres littéraires à travers bien d’autres pays. Pourquoi ? Sûrement pour avoir plus de reconnaissance, car c’est la chose la plus formidable qui pourrait vous arriver, ne pensez-vous pas ? La "gloire" a toujours été l’une des perles rares que s’arrachent les hommes, mais encore faut-il pouvoir y mettre la main dessus. Cet homme-là rêvait de découvrir d’autres pays, et pour ajouter un peu plus d’exotisme à ses multiples ouvrages, il avait tout à coup décidé de voyager. Idée folle sur un coup de tête, n’est-ce pas ? Mais figurez-vous que c’est là-bas même qu’il fit la connaissance de sa future épouse. Curieux de connaître comment ont eu lieu les évènements ? Alors je m’empresse de vous narrer la suite sans plus tarder…

A l’époque, le Japon intéressait grandement celui qui allait devenir mon père, si bien qu’il en parlait souvent à son éditeur. Il avait bien eu l’intention de se rendre sur les lieux par pure curiosité mais aussi pour l’amour du pays qui avait animé sa personne il y avait fort longtemps. Existaient encore ces grandes cérémonies dont les personnages principaux étaient de jeunes geishas – ou plus réellement des danseuses costumées - encore frêles mais rendant le spectacle des plus attrayant. William Harsh, encore jeune et fougueux, s’était rendu sur place afin de constater de ses propres yeux la magnificence de cette cérémonie : il eut le coup de foudre. Que dire ? Et l’une de ces jeunes filles qui le fixait de ce regard infini… Il fallait qu’il s’inspire de ce qu’il avait vécu à ce moment précis, il fallait qu’il trouve un moyen de lui parler… Inutile de vous conter la suite qui n’était que rencontres improvisées et recherche de l’autre jusqu’à union maritale.
Et ce fut un 21 mars 1985 que j’ouvris les yeux pour la première fois, inspirant de mes petits poumons le nouvel air du monde. D’après ce que m’avait raconté ma mère, les arbres, des cerisiers, étaient en fleurs ; fleurs rosées et légères volant au rythme du vent. Autant vous dire que j’aime toujours autant cette saison car l’air a une odeur particulière. J’étais le petit premier. Oui, en réalité je n’étais pas seul : ma mère avait donné naissance à des jumeaux : Keisei et Keith. Quelle n’était pas la joie de mes parents ! Je n’avais pas la faculté de comprendre la chance que nous avions à ce moment-là, mais je me mets parfois à regretter cette époque.

J’avais 7 ans. Tout se passait pour le mieux et dans le meilleur des mondes. Ma mère était une femme douce et affectueuse et mon père, un homme de caractère mais raffiné. Nous connaissions le bonheur, c'était sûr. Trop beau, aurais-je du penser. Mon père s’était replongé dans son travail, ce qui lui prenait de plus en plus de temps et l’éloignait petit à petit de sa famille. Que voulez-vous, la vie n’est pas un long fleuve tranquille, les tumultes sont là au moment où l’on s’y attend le moins. Il arrive toujours qu’un événement indésirable pointe le bout de son nez et c’est ce qui s’est passé, enfin je crois. J’étais bien trop jeune pour tout comprendre encore.
Moi et mon frère avions fini par nous rapprocher de notre mère, tentant de combler le manque d’affection paternelle. Il était pourtant bien là, mais beaucoup trop obnubilé par son écriture. Que je détestais cette écriture ! Heureusement pour moi, il y avait mon frère. Aujourd’hui même je me demande quelle aurait été ma vie sans lui… Je ne saurai le dire puisque ce n’est même pas imaginable, ou du moins, je ne veux pas l’imaginer.
Souvent, nous nous amusions à faire fâcher notre mère en nous faisant passer l’un pour l’autre. Unis comme les doigts de la main, nous nous étions fait la promesse de ne jamais nous séparer, quoi qu’il arrive ! Comme tous les enfants, nous avions des rêves utopiques. Aujourd’hui je trouve ça risible en me surprenant dire "J’étais vraiment un imbécile !"…

16 ans. Encore maintenant, je me souviens de cette année. Oh oui, j’en ai pleuré comme une petite fille. J’avais commencé à le comprendre, mais, encore une fois, je m’étais voilé la face, cherchant une sorte d’échappatoire en me répétant que tout se passerait bien et qu’avec le temps, il finirait par réaliser, mon père. Mais le "glas" sonna, Divorce. Je ne sais toujours pas si mon père éprouvait une once de regret à cette rupture qui, selon moi, me paraissait assez soudaine mais il était sûr que moi, j’étais brisé en deux. Ce qui m’avait choqué n’était pas vraiment le départ de mon père car je n’ai jamais vraiment été attaché à lui, mais c’était "le sien". Je ne voulais pas qu’ "il" parte, lui. J’aurais pu tomber à genoux, comme dans tous ses dramas qu’on voit à la télé, mais je ne l’avais pas fait. Je crois que l’évènement avait été beaucoup trop inattendu pour que mon cerveau reçoive ce flot d’idées. Au final, je me suis toujours demandé si je "le" connaissais si bien que ça… Pourtant il était moi et moi j’étais lui. Nous étions du pareil au même, nous partagions tout, il n’y avait aucun secret entre nous. Alors pourquoi ? Il était clair que selon moi, il s’agissait là d’une trahison. Avait-il oublié ce que nous avions fait ? Oui, nous avions commis plusieurs fois l’interdit et ce à partir de nos 15 ans. Nous cherchions mutuellement du réconfort et le seul refuge à ce malaise extérieur – qui étaient les altercations entre nos parents – était de passer à l’acte. Je me sentais bien à ses côtés, protégé, réconforté, aimé plus que tout et compris. La chaine qui orne aujourd’hui mon cou et sur laquelle sont attachées deux plaques en métal gravées de nos prénoms respectifs a été son unique cadeau. J’y tiendrai jusqu’à ma mort.
Après leur départ, je vécu alors seul avec ma mère jusqu’à l’arrivée d’un "étranger" - car je n’ai jamais accepté ce divorce et sûrement pas l’intrusion de quelqu’un d’autre dans la vie de ma mère -, tandis que mon père et "lui" rentrèrent en Angleterre.

Les années passèrent, toutes aussi semblables les unes que les autres, continuant mon petit bonhomme de chemin. Je l’avais perdu et je ne m’étais pas encore fait à la présence de cet homme. Il était loin d’être désagréable et tentait même de se rapprocher de moi, mais cela se résumait à un "bonjour" ou un "c’était bien l’école ?" et un "au revoir". D’ailleurs, à l’école, je m’ennuyais et mes notes était moyennes. Pas de quoi en faire un plat. Est-ce que c’était pareil pour "lui" ? Je ne le saurai jamais non plus. Non, je ne me laissais pas dépérir car je n’étais pas un dépressif dans l’âme, mais je m’ennuyais... La solitude pesait sur mes épaules. Je ne m’étais pas accommodé de son absence. "Il" ne m’a plus jamais donné de nouvelles depuis ce fameux jour. Mon sourire s’était fait un peu moins présent mais il fallait que je me fasse une raison, c’était comme ça et je n’y pouvais rien (au moins je n’étais pas mort). Depuis je me suis endurci et j’ai aussi beaucoup mûri.

A la fin de mes études, je ne savais pas trop dans quel domaine m’orienter. A vrai dire je n’avais aucune idée de ce que je voulais faire. J’avais juste eu un BAC Economique et Social – je hais au plus haut point le domaine des Lettres -, pas de quoi en faire des éloges. Jusqu’à aujourd’hui, j’ai enchaîné des petits jobs par-ci par-là, histoire de ne pas me retrouver sur la paille ! Cependant, je n’ai jamais regretté ma décision, j’ai pu faire la connaissance de certaines personnes et profiter en tous termes, des plaisirs de la vie (mais chut, gardez-le pour vous), passant de serveur à vendeur et bien d’autres.
Aussi, maintenant âgé de 25 ans, et expérimenté – dans tous les domaines - , je me renseignais afin de pouvoir exercer pleinement ce qui allait devenir mon métier et j’appris par une de mes connaissances l’existence d’une prestigieuse école spécialisée dans l’Art de la Pâtisserie , située en Ecosse, nommée la "Cream of School" qui était apparemment dans le besoin de personnel. Quelle opportunité ! Et qui plus est, j’avais un faible pour les pâtisseries. Ok, ça m’allait ! Quittant la maison pour un long voyage, valises sous le bras, je partis pour commencer ce qui allait être ma deuxième vie, motivé par ce nouvel emploi.
Vous êtes arrivé à destination, bienvenue.



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QUESTIONNAIRE A ESSAYER DE REMPLIR


1. Pour vous, que représente le chaperon rouge et le grand méchant loup? Un conte (ou bien le seme qui mange le uke ? Si vous voyez ce que je veux dire.)

2. Pour vous, la luxure est elle un pêché? Oui car on fini par s’y noyer. (Mais c’est tellement bien…)

3. Quel est le meilleur dessert que la terre ait jamais porté?
Les gâteaux à la crème bien sûr !

4 Selon vous, avec quoi rime l'innocence ? Avec Pureté.

5. Quel est votre définition de l'érotisme? ou pour vous qu'est ce que l'amour? choisissez l'une des deux questions...
L’amour est un sentiment profond mais aussi très complexe. Il est aussi capable de changer une personne. Mais l’Amour c’est Beau.

6. Répondez à la question : SI C-H-O-C-O-LA-T= 8 … SI L-A-N-G-U-E= 6 alors S-E-X-E = 4?

7. Lit double ou lit simple? Double !! (Il en faut de la place…)

8. Quel est le phénomène qui touche les hommes au réveil, le matin?
Le réveil de la Bête !

9. Quel titre donne-t-on à un élève d'un niveau supérieur à soi au Japon?
SENPAI
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Duncan Mac Donad
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Duncan Mac Donad

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Date d'inscription : 07/10/2009
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Localisation : dans ton lit

Feuille de personnage
Profession de votre personnage: etudiant C
Amoureux et en couple avec...: Yuki
Caractère (résumé):

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MessageSujet: Re: Keisei HARSH ~ L'homme qui avait perdu sa moitié - préfet de l'internat [FINIE]   Keisei HARSH ~ L'homme qui avait perdu sa moitié - préfet de l'internat [FINIE] Icon_minitimeSam 7 Nov - 13:37

rien a dire bonne fiche aussi tu es validé ^^
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